Alors que son mandat approche de la fin, la mairesse de Montréal Valérie Plante dresse un bilan clair : son legs le plus important à la métropole, c’est l’environnement. Malgré ses déceptions en matière de transport collectif – comme l’abandon du tramway de Lachine –, elle insiste que les mesures prises en faveur du climat ont marqué un tournant.
Parmi les réalisations qu’elle met de l’avant : le triplement des terrains protégés à vocation écologique et l’objectif d’installer 11 000 bornes de recharge électrique d’ici 2030. La Ville adoptera aussi le principe de « zéro artificialisation nette », pour limiter la perte d’espaces verts au profit du béton.
À l’occasion du Sommet Climat Montréal, la Ville a confirmé la transformation de la rue Larivière en rue « éponge », tandis que Québec injectera 21,9 M$ pour développer des stationnements écoresponsables. Valérie Plante envoie aussi un message clair à son successeur : toute marche arrière sur la décarbonation serait un recul dangereux pour la ville.
Valérie Plante mise sur l’environnement comme son principal héritage
13